Prendre le risque d'être vrai ? Leur réponse
Bonjour,
Je vous écris en réponse au dernier article S'interroger rédigé par Damien que je ne connais pas mais dont j'admire le courage et l'expression.
Je voudrais exprimer que je ressens exactement la même chose de mon côté féminin. Je pourrais remplacer tous les ELLES par leurs correspondants masculins.
Forts de ce constat, que faisons-nous maintenant ? Pour ma part j'essaie d'y croire encore, j'essaie de ne pas me sentir trop blessée par l'indifférence et le silence, j'essaie de comprendre où ce chemin veut me mener... je n'y arrive pas toujours.
Je n'ai pas de solution à apporter, ce message est le seul moyen que j'ai trouvé pour répondre à l'article de Damien qui a fait écho en moi. Merci pour votre travail. Vous permettez de construire des ponts entre les personnes. Cependant c'est ensuite à ces dernières de se décider à traverser.
Bien à vous,
Nadège
Chers membres de Theotokos,
Je me permets de vous écrire suite au message de Damien diffusé il y a 2 mois. Ce dernier expliquait ses déboires face à la gente féminine.
Je vous exprime les miens :
- messages envoyés (en direct ou par mail) sans réponse
- discussions commencées et qui ensuite s'arrêtent net sans explication
- messages envoyés avec plusieurs échanges et après aucune nouvelle
- prises de contact par mail pour se fixer une heure pour discuter en direct et le jour j ..... personne et pas d'excuses
- demandes de prise de contact par téléphone (par politesse j'envoie un sms et j'attends toujours la réponse....)
- rendez-vous devant un hôtel
- prises de contact par téléphone et je découvre quelqu'un avec des questions perverses
Mais j'ai eu aussi des échanges et rencontres sympathiques, parfois avec des hommes qui ne savaient plus trop où ils en étaient (trop investis dans le travail, habitués à la solitude, désappointés, tristes...).
Je termine ce message en disant qu'un jour, nous rencontrerons la bonne personne. Mais il faut prendre le temps de la découvrir.
Une châtaigne avec sa bogue pique et on la laisse tomber. Si on prend la peine d'enlever la bogue, on découvre la coque certes lisse mais coriace. Une fois cuite, il faut prendre le temps d'enlever cette dernière pour apprécier à sa juste valeur la châtaigne.
Prenez le temps de découvrir, d'apprécier, de penser... On est prête à être perfectible avec vous.
Marie, membre de Theotokos
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